Ann V .

Je ne savais plus ce que voulait dire "être en forme".

"Lorsque je me suis engagée dans le trajet Renaissance, j’avais, au compteur, des centaines de journées consacrées à des thérapies, formations et ateliers en tous genres. Chaque étape avait été instructive, mais j’avais l’impression d’avoir eu un parcours décousu, et, surtout, je continuais à traîner de vieilles douleurs, une énorme fatigue, aggravée par des années d’insomnie, un enthousiasme en berne et un sentiment de découragement de plus en plus présent. Je ne savais plus ce que voulait dire : être en forme.

Or, à un peu plus d’un an de la retraite, j’avais plus que jamais envie d’être en forme, justement.

Je suivais Catherine Piette depuis un certain temps lorsque je suis tombée – par hasard ;-) – sur une présentation du trajet Renaissance. Il s’est ensuivi un coup de fil, au cours duquel Catherine m’a expliqué en quoi consistait ce trajet qui s’adressait à toutes les dimensions : physiques, psychologiques, émotionnelles, spirituelles,… Tout cela me semblait tellement cohérent. De plus, cerise sur le gâteau en ce qui me concerne, Renaissance était un trajet sur mesure.

Je viens de terminer le trajet Renaissance de six mois, et le bilan dépasse mes attentes.

Pour commencer, j’ai appris à me nourrir selon mon profil alimentaire. Rien de bien compliqué, mais un effet bluffant sur le stress, la qualité de mon sommeil, mon énergie et mes douleurs arthrosiques.
Ensuite, au fur et à mesure de l’exploration de la « boîte à outils » de Catherine et de la mise en pratique de techniques très faciles à intégrer dans la vie quotidienne, je me suis sentie devenir de plus en plus apaisée, légère, avec une vision plus claire de qui je suis et de ce que je veux et peux être et faire.
Renaissance n’est pas une psychothérapie, mais j’ai découvert de nouvelles facettes de ma nature consciente et inconsciente.
Beaucoup de choses ont commencé à faire sens et je me suis sentie plus légitime.

Parmi les grandes richesses du trajet Renaissance, je citerai le fait qu’il intègre toutes les dimensions non pas de l’être humain, en général, mais de l’être humain que je suis ; qu’il donne accès à la « boîte à outils » très riche que Catherine s’est constituée (et continue à se constituer) tout au long de son propre cheminement ; et la personnalité chaleureuse et sensible de Catherine, sa disponibilité, son expérience, ses connaissances, et ses intuitions..."

 Katia M.
Avant Renaissance, je ne m'aimais pas, j'avais des douleurs et je me sentais fatiguée.

"Avant Renaissance, je n'étais pas OK avec qui j'étais. Je ne m'aimais pas. J'avais des douleurs aux épaules, aux jambes (ça va beaucoup mieux, même s'il en revient un peu parfois), et je me sentais fatiguée (je ne me donnais pas le droit de me reposer, et quand je le faisais, la culpabilité que je ressentais me donnait des crises de boulimie).

Aujourd'hui , à la fin du parcours, je me rends compte aussi du fait que je ne m'accordais aucune liberté alors que c'est l'une de mes grandes valeurs !
Maintenant, je me donne complètement ce droit: m'écouter, d'exprimer qui je suis et comment je veux être. J'ai arrêté de vouloir être quelqu'un d'autre que moi ! Au fil des mois, il y a eu un gros travail d'acceptation de qui je suis et j'ai commencé à savourer qui je suis, et à m'aimer. Il y a quelque chose qui s'est vraiment ouvert. (...)
Il y a une seule règle qui est devenue prioritaire pour moi , c'est de me demander comment je me sens, de quoi j'ai envie.

Cette règle, c'est la seule que je veux garder.

Avant je pensais qu'être alignée c'était quelque chose de dur, parce que j'essayais d'être alignée sur quelque chose qui n'était pas moi. Quand ça vient de soi, l'alignement est souple. Facile.
Et je remarque que c'est la première fois de ma vie que je vois clair sur les étapes des prochains mois/années, même si je sais que je contrôle rien."